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Beaumont en Beine

Histoire

Beaumont en Beine a été le lieu d'implantation du plus formidable canon de l'Histoire


L'emplacement des canons .

Le Canon de Paris tira plus de 150 obus sur Paris et tua , le Vendredi-Saint 1918, près de 90 personnes réunies dans une église parisenne.

Voir la page concernée au "Wilhelmgeshutze".




Le manoir perdu .




Beaumont en Beine.


Situation: Derrière l'église, près de la route menant à Eaucourt;
Les seigneurs de Beaumont furent les Lecat, les d'Hervilly er les Bruslart, marquis de Genlis. Le château a dû être reconstruiit par la famille Lecat, sans doure au XVI' siècle ou au début du XVII'siècle, sur les bases d'un ancien château féodal du XII' siècle. En 1846-1848, on lui adjoint un pavillon qui est détruit peu après par un incendie. Un nouveau pavillon, surmonté d'un belvédère, est reconstruit en 1879. En En 1881, monsieur Dodeuil père, en fait l' acquisition et le donne à son fils Jean Louis Sainte-Marie Dodeuil lors de son mariage en 1911 avec Louise-Marie Borgnis-Desbordes. En 1914, le château esr parrtgé en deux: le pavillon et une partie du vieux château pour les propriétaires, et le reste du corps de logis pour les employés de la ferme. Le parc avait une superficie de trois hectares.
Description:
Le corps de logis primitif comportait, sur un sous-sol voûté,deux niveaux qui étaient entièrement en brique, sauf les appuis et les clavages des baies, en pierre. Les briques de deux tons figuraient des losanges. Les ouvertures des baies étaient assez irrégulières : huit au rez-de-chaussée et six au premier étage. Les toitures en ardoises étaient en croupes avec noues. Construit également en briques, le pavillon de 1879 était couronné par un large entablement en pierre. Une haute toiture en ardoises à quatre pans couvrait les trois niveaux. Un belvédère avait été ajouté sur la faîte du toit: il était à huit pans et terminé par un perit comble en pavillon recevanr la girouette. Le tout culminait à plus de 2S mètres du sol et dominait toute la région. Ce pavillon assez inéléganr par sa masse nuisait à l'équilibre du logis ancien. L'ensemble du châreau fermait un des cotés d'une grande cour de ferme. Les trois autres côtés, à l'exception d'un angle uniquemenr matérialisé par un mur, abritaient tous les bâtiments de l'exploitation agricole.

Extrait de: Il était une fois des châteaux dans l'Aisne . Jean Eck .

Louis XIV autorise l'établissement de foires et de marchés à Beaumont


L'Illustre Beaumont Jean-Louis-Chrétien de Beaumont
Général d'empire